• Nos amis les humains


             

    Titre : Nos amis les humains

    Auteur : Bernard Werber

    Parution : 2003

    Édition lue : Le livre de poche

    SYNOPSIS

    « Les humains sont-ils intelligents ? Sont-ils dangereux ? Sont-ils comestibles ? Sont-ils digestes ?
    Peut-on en faire l'élevage ? Peut-on les apprivoiser ?
    Peut-on discuter avec eux comme avec des égaux ?
    Telles sont les questions que peuvent se poser les extra-terrestres à notre égard. Pour en avoir le cœur net, ils kidnappent deux Terriens, un mâle et une femelle, Raoul et Samantha. Ils les installent, pour les étudier tranquillement, dans une cage à humains. Une « humainière ». Ils espèrent ainsi assister à une reproduction en captivité. Le problème, c'est que Raoul est un scientifique misanthrope et Samantha une dompteuse de tigres romantique. Pas simple dans ce cas pour nos deux cobayes de se comprendre et, a fortiori, de s'aimer... Avec cet ouvrage, rédigé comme un huis clos philosophique, Bernard Werber nous présente une nouvelle facette de son art. Une fois de plus, il nous propose de prendre un peu de recul, d'avoir une perspective différente pour comprendre l'humanité « autrement ». »

     

    Une forme curieuse tout d'abord, à mi-chemin entre le roman et la structure théâtrale, bien que les critiques revendiquent cette dernière. Une histoire assez farfelue au premier coup d'œil, qui semblait prometteuse. C'est aux premières lignes que je me suis aperçu de la bassesse un peu généralisée que l'on retrouve tout au long de l'ouvrage, et qui allait devenir un cauchemar — c'était sans compter sur la brièveté du livre, laquelle a rapidement mis fin à mes souffrances.

    « La télécommande de la télévision. Voilà le révélateur ultime de l'autorité conjugale. Détenir la "commande de la télévision", c'est décider du programme de toute la soirée. Quand l'homme renonce à ce dernier symbole, c'est qu'il a tout perdu. »

    Quand on croise pauvreté de style et pauvreté de goût, on obtient un ramassis assez immonde qui se situe entre le livre pour enfant — l'écriture étant à peine digne d'un "Foot de rue" — et le huis clos raté, dont on ne cerne pas où il veut nous amener. En effet, j'aurais aisément classé le livre dans les rayons "enfants" s'il n'y avait pas de sexe à l'intérieur...

    « On n'est pas des bêtes, on a la pilule ! »

    J'attendais, outre cette façade du style qui accélère d'autant plus la lecture de ces 190 pages de 5 lignes police 24 chacune, un côté scientifique poussé que l'on attribue à cet auteur. Il n'en est rien, absolument rien ; c'était pourtant là mon dernier espoir !... Tout est vu d'un œil spectateur, lui-même débile, sans aucun fond — et Dieu sait comme il m'agace déjà de me remémorer la forme. Le tout ponctué d'une dimension philosophique attachée à un non-sens impérial.

    « Ma conclusion de témoin est que... l'homme est un loup pour l'homme. »

    N'ayant pas lu "Les fourmis", je me refuse à me donner une image tout à fait négative de Werber avant de l'avoir fait. Je demeure tout de même détruit par cette lecture qui est à mon sens une perte de temps manifeste...

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • WEEK-END À MILLE PAGES

    Bonjour à tous,

    Avec le forum "Jeunes écrivains", je fais le week-end du 24 avril au 26 avril (le prochain, donc) un week-end à mille pages, l'objectif étant, vous l'aurez compris, de lire mille pages. Ainsi s'ensuivront de nombreuses critiques pour redorer la période de trou du blog, liée en partie à ce Thomas Clerc qui m'énerve encore et toujours.

    Ma liste sera idéalement :

    L'invité, Roald Dahl (96 pages)
    Un chant de Noël, Charles Dickens (118 pages)
    Les enfants terribles, Jean Cocteau (123 pages)
    Nos amis les humains, Bernard Werber (190 pages)
    La retraite sentimentale, Colette (243 pages)
    Confession d'un masque, Yukio Mishima (247 pages)

    Soit un total de 1017 pages.

    Avec en réserve :
    Pays de neige, Yasunari Kawabata (190 pages)
    Les oiseaux, Daphné du Maurier (348 pages)

    À la chasse au mot !

    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • Non, je ne suis pas mort.

    Je prends du temps pour lire, je suis malade, aussi. Le NaNo et mes activités ne me permettent pas beaucoup de lecture, ce que je déplore mais qui, rassurez-vous, devrait s'estomper dans les jours à venir. J'espère enfin finir ce livre ce week-end, vous comprenez pourquoi ma lecture est longue... (Elle est particulière, va-t-on dire. Vous en saurez davantage prochainement...)

    Pour vous faire patienter, je voulais vous parler de deux questions que j'ai déjà fait circuler sur Twitter.

    Que préférez-vous entre :

    1/ des articles plus fréquents et courts ou moins fréquents et longs ?

    2/ une notation avec des couleurs (rouge, orange, vert), comme actuellement, ou une notation sur 10 ? sur 20 ?

    Répondez-moi en commentaire, j'aimerais avoir votre avis pour vous offrir un meilleur confort sur ce blog. :)

    Bonnes lectures les amis, et à très vite (promis).

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • https://twitter.com/ImmersionRom

    Immersion Romanesque a désormais son compte Twitter. Je partagerai chacun des nouveaux articles là-bas, comme je le fais sur Facebook, donc !

    N'hésitez pas à partager les profils et articles. :)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Hello les amis !

    Aujourd'hui, je me suis rendu en librairie avec un budget de 20€. J'ai acheté Le Dahlia Noir de James Ellroy et Les oiseaux de Daphné du Maurier, qui sont donc rajoutés à ma PàL.

    Je lis actuellement Intérieur de Thomas Clerc, dans la toute belle édition que je me suis offerte (cadeau de moi à moi - oh, comment me remercier ?). Ma lecture étant un peu entravée par la NaNo, qui me prend tout de même beaucoup de temps, et ayant d'autres lectures sur le feu, je n'avance pas très vite. Mais bon, comme c'est beau de se donner des espoirs et des objectifs, je vais prétendre essayer de le finir et d'en poster la chronique en ce long weekend de trois jours, soyons optimistes.

    Voici pour mes dernières nouvelles. Et toi, que vas-tu lire prochainement ? Tu me diras ce que tu en penses, dis, dis, dis ?

    Partager via Gmail

    2 commentaires